Manger «chinois»
Quand ça nous prend, ça nous prend. On veut manger «chinois». Quand j ‘étais petite à Noranda , mon père le dimanche nous amenait manger «chinois». Je ne me souviens plus du nom du resto mais je me souviens que j’adorais choisir des «sweet & sour chicken balls» et quand j’ai la nostalgie de mon enfance,
La générosité a bien meilleur goût
Je ne peux pas m’imaginer un chef qui est un vrai chef qui ne soit un créateur, un passionné du produit, un curieux, un éternel étudiant, un insatisfait chronique, un perfectionniste fini, une âme généreuse. La cuisine c’est ça, juste ça et tout ça. La générosité n’est pas un «état financier» mais un «état d’esprit».
Un resto qui perd son chef, est-ce un resto perdu ?
Quand mes amis m’accueillent en janvier pour ma retraite hivernale, ils m’invitent à mon resto préféré dont le chef est un jeune italien qui m’impressionne énormément. Il sert environ 1000 couverts par soir de janvier à mai et 500 à 600 les autres mois de l’année. Il réussit, avec une équipe bien rôdée à servir