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Vous trouverez ici les hauts et les bas de mes humeurs culinaires, des astuces de cuisine et des informations sur mes marchés. Bonne lecture!

Pourris-gâtés que nous sommes !

Samedi le 11 mai. Le dernier marché «intérieur» de Val-David, avant l’installation dehors. Celui de la Fête des Mères avec de la pluie, du temps frais et malheureusement, pas assez de monde. Où étiez-vous les fans des producteurs ? Certainement pas au hockey ?

Pour DidiC’est un drôle de phénomène, les Marchés Publics. On a beau faire tous les sondages, faire toute la publicité qui est à la portée de nos moyens, on ne peut jamais garantir la  foule. Mais les producteurs, eux, ont préparé leurs produits pour, justement, servir la foule. Que de beaux produits ! En entrant, j’ai vu la Boulangerie des Trois Levains, qui sentait le bon croissant au fromage et la miche tout juste sortie du four…

Puis, voilà un petit nouveau, que je ne connaissais pas mais que l’équipe avait apprécié cet hiver : la fondue suisse SOS Fondue !, à commander et  à se faire livrer à la maison, rien de moins. Quelle belle idée ! Ils seront d’ailleurs au marché tout l’été. Et puis, j’étais si heureuse de retrouver tous mes vieux fidèles, avec leurs produits qui m’ont manqué tout l’hiver : nos joyeux lurons de Gaspor, l‘agneau de Raymond, sans lui derrière son congélo; Diane, qui a rajeuni et perdu du poids ; Isabelle, toujours aussi jolie à chaque sourire; Patrice et sa femme, calmes et sereins comme à l’accoutumée, Didier et son rire communicatif et généreux, Diane de Rose des Vents, une reine dans toute sa splendeur ; notre savant Albert et sa Marie-Lou si douée… Les petites du Troupeau Bénit étaient absentes, en retraite quelque part en Arizona. Et je passais de l’un à l’autre vers tous les autres, qui représentent notre grande et incomparable famille des marchés de Val-David.

 

Enfin, le plus épatant moment des journées de Marchés, c’est le retour à la maison, les bras chargés de victuailles. Cette fois-ci, comme le temps si prêtait, on s’est cuisiné la fondue. On a déterré notre caquelon, sortie une petite bouteille de Kirsch artisanal que Bernard nous a rapportée de Suisse. On s’est touillé une petite verte puis hola ! on s’est régalé, en se disant une fois de plus combien nous sommes choyés d’avoir cette richesse pratiquement dans notre cour : un vrai marché, avec des vrais de vrais producteurs. Merci à vous tous et bonne santé ! On remet ça le 1 er juin, à plus de 80 exposants à l’heure !

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